Salut, c’est moi, Lou Ping, la Chroniqueuse Junior d’Ameland ! Aujourd’hui je vous emmène à la découverte des simulateurs numériques du Parc Spirou Provence. Ces attractions apportent un côté vraiment unique et fun au parc provençal.

Pour commencer, voici mon simulateur numérique préféré : Gaffe à Gaston. Je ne connaissais pas ce personnage de BD mais j’ai beaucoup aimé l’attraction qui lui est dédiée. En résumé, quand Gaston Lagaffe imagine une attraction dans les locaux de la rédaction du Journal de Spirou, cela donne une aventure mouvementée… Et en plus, on est au frais ! Après avoir embarqué à bord de véhicules ressemblant à la célèbre voiture de Gaston, on met nos lunettes 3D et c’est parti pour une visite très spéciale. J’ai beaucoup rigolé tout au long du voyage !

Ensuite, en deuxième position, je vous présente Marsu Aventures. Il s’agit d’un cinéma 4D, ça veut dire un cinéma avec des lunettes 3D, des sièges qui bougent et des effets physiques dans la salle (de l’eau, du vent, des chatouillis dans les jambes, etc.). L’histoire vous emmène avec Marcia, Punch et Twist à la poursuite d’une balle bondissante au fil d’un voyage mouvementé. On est vraiment au cœur de l’action, il n’y a pas de temps mort et là aussi je me suis beaucoup amusée !

Enfin, à la dernière place (mais le préféré de Papa) arrive Supergroom et les Dinozorgs. Après une file d’attente extérieure avec plusieurs dinosaures, on entre dans un bâtiment top secret. Et catastrophe, Zorglub s’apprête à modifier le cours de l’histoire à l’aide d’une armée de redoutables dinosaures téléguidés. Sans notre aide, Supergroom n’arrivera jamais à neutraliser ces effrayantes créatures ! Le principe est celui du tunnel immersif (un concept unique en France), où le véhicule évolue dans un environnement entouré d’un immense écran en forme de tube. On y vit une grande aventure mais attention, ça secoue parfois très fort !

Vous l’aurez compris, pour une journée vraiment amusante au Parc Spirou Provence, n’oubliez pas de faire les trois simulateurs numériques. Et maintenant, je rends l’antenne !